Clan Korandar
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 [Isurion/Prince Noir] Sombre Retour.

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AuteurMessage
Isurion
Marionnettiste
Isurion


Nombre de messages : 722
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Guilde : Korandar
Race : Humain
Date d'inscription : 07/12/2007

Fiche de Personnage
Prénom: Isurion
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MessageSujet: [Isurion/Prince Noir] Sombre Retour.   [Isurion/Prince Noir] Sombre Retour. Icon_minitimeMer 19 Nov - 23:16

Ton sommeil est si agité, tes souvenirs s'estompent et se perdent dans ce que je te fais endurer. Te souviens-tu de la vie que tu menais, avant tout ceci, avant tout ces voyages ? Non, bien sûr que non, tout ceci n'est plus qu'un rêve, le sentiment d'une illusion qui n'a jamais existé. Mais dans tes songes, dans ce domaine où je suis maître, où je te tourmente depuis ces longs mois, je vais te le conter. Ceci est ton histoire mon cher, le passé de celui qui bientôt prendra mes traits.

Tout à commencer il y a quoi, environ huit mois, non ? Tu habitais depuis bientôt dix ans dans cette ville presque déserte, oubliée du royaume et de ses habitants, Sonak. Tu y étais bien, tu t'y plaisais et, malgré les troubles, la présence malfaisante voisine, tu as pu construire une famille. Te rappelles tu de ta femme ? Délicieuse petite brune un petit peu trop en chair pour me plaire, mais son visage et ses traits n'étaient pas laid, c'est vrai. Tu l'aimais, c'était la femme de ta vie, Liliane était son nom, une fille de paysan que tu as rencontré alors que tu revenais de Proncilia... Tu l'as vu dans les champs, et, même si je n'en comprends pas la raison, tu es tombé amoureux d'elle, et tu la désirais. Timidement, tu as été vers elle, et le courant est si vite passé, c'est beau l'amour, n'est ce pas ? C'est ici que tu es devenu un homme, mon cher, tu te souviens, la première fois que tu l'as fait ? Tu n'as pas tenu très longtemps, mais elle était heureuse, toi aussi, de cette union charnelle qui fait passer l'humain qui se dit civilisé à l'état de bête. Un an après, vous vous installiez ensemble, à Sonak et venait au monde votre premier enfant.

Quelle a été ta vie ensuite, Ray' ? Hum... Laisse moi réfléchir. Ah ! Oui, ça y est, cela me revient. Contrairement a cette illettrée qui te servait de compagne, bien que tu lui ais apprit les rudiments, tu étais quelqu'un de cultivé, sachant lire et écrire. C'est ça, d'avoir grandi dans un mission de petite bourgeoisie, éduquer pour reprendre l'affaire de papa, auquel tu as renoncé pour cette fille de bouseux, ah, que c'est beau l'amour. Ta culture t'amena à bosser dans la bibliothèque de Sonak, qui avait bien besoin de quelqu'un pour s'en occuper. Ton boulot était d'un ennui, comment as tu pu faire ça pendant toute ces années ? Tu n'avais même pas chez toi une raison suffisante d'endurer cela... Au fond, je crois que tu as aimé démolir ta vie, frustré de voir ton papa t'imposer une vie, tu as choisi de tout ruiner ? Sombre idiot, tu as conduit toi même ta déchéance et ce destin, mais ne t'inquiète pas, je vais te faire apprécier la vie. Bref, où en étais je ? Ah, ton travail... Tu étais chargé de gérer l'inventaire de la bibliothèque, noter les emprunts, ce genre de choses, qui, dans ce monde d'imbéciles, arrivent rarement, mais aussi de veiller au bon état de ces derniers, et accessoirement, en recopier les pages que le temps, l'humidité et les rats usaient. Vraiment, en y pensant, comment as tu fait pour ne pas craquer ?

Bref, ta vie n'avait rien de très passionnant, ta fichue femme t'a pondu quatre rejettons de plus, dont deux filles, pendant ces dix années, et ces grossesses successive l'avait enlaidi, de mon point de vue. Plus grosse, bon, je t'accorde que sa poitrine avait des attraits, mais c'est bien la seule chose qu'elle avait désormais, pour elle. Ta vie, au fond, n'avait rien de passionnant, une routine mesurée, un boulot ennuyeux, des amis qui n'en étaient que quand tu pouvais leur rendre un service... D'ailleurs, comment as tu pu être aussi naïf ? Tu as profité à tant de gens et en échange, on t'a trainé dans la boue, et tu ne réagissais pas, le sourire aux lèvres. Tu as aimé cette destruction, tu te mutilais moralement, satisfait de ta vie de raté.
Tu as souffert, quand deux de tes gosses sont morts des différentes pestes qui se propagèrent ces dernières années, mais au fond, ne t'en plaind pas, les démons aidaient à ton projet, devenir une honte pour ton pauvre père qui avait tant fait pour t'offrir une bonne éducation, te promettre un bon avenir.

Nous en arrivons à ce qu'il s'est passé, il y a huit mois... Quand je suis rentré dans ta vie de merde. Tu l'ignorais, qu'un vandale avait pénétré la bibliothèque une nuit, cachant une chose dans un des livres, un cristal dans un creux découpé dans les pages d'un de tes précieux livres. Tu as ouvert le livre, laissant tomber ce cristal au sol, et d'abord scandalisé, tu as imaginé la richesse. Tu l'as pris en main, et tu n'as rien comprit quand celui ci a pénétré ta peau. Je suis entré dans ton crâne, et j'ai découvert ta petite vie de masochiste. Tu t'en souviendras, de cette nuit là, hein ?
Cette truie, elle n'avait jamais autant prit, tu étais devenu sauvage, dans ton regard cette lueur, déjà je t'influencais, tu étais si faible. Elle a d'abord prit son pied, adorant, mais ses cris de plaisir se sont transformés en douleur, puis en effroi quand elle a découvert ton visage dément, la folie te submergeait. Elle a tenté de te repousser, la bougresse, elle n'aimait plus ce que tu lui donnais, alors, en bon petit homme, dominateur, tu l'as puni, un coup, puis un autre, et encore un. La frénésie t'a emporté, les os du nez craquaient, les cris qui se taisent, et une horreur. Son visage n'avait plus rien de beau, le sang coulait à flots d'un nez eclaté, ses yeux clos, des larmes. Ta démence l'avait tué, mais ce n'était pas terminé.
J'ai amplifié tes instincts, ton désir et ton penchant à l'autodestruction. Avec cette grosse, ce fut le tour de ces fichus rejetons, les cris, les pleurs, le bruit sourd d'un morceau de bois fendant leurs petits crânes et c'était terminé.

Que sont ces larmes qui coulent sur ton visage pendant que tu dors ? N'es tu pas satisfait, au final, c'est ce que tu voulais. Tu en avais envie, de cette décadence, et moi, bon prince, je te l'ai offert, généreusement.
Mais attends donc la suite de cette fabuleuse histoire, la chute d'un homme, ta ruine et ma renaissance.

Le lendemain, tu as pleuré, ne comprenant pas ce qui t'avait envahi, et tu as voulu mettre fin à tes jours. Je t'en ai empêché, tu étais parfait dans le rôle qui t'était destiné, et ta tâche n'était pas encore terminée. Tu as quitté ta maison, des provisions, une arme avec toi et tu as fuis, choisissant ta destination sous mes conseils avisés. La première destination, c'était Proncilia. Il y avait là-bas, au fin fond d'un de leurs coffres, une chose qui m'appartenait, et que tu devais récupérer. Tu as attaqué plusieurs aventuriers, et, guidant ta lame, je te fis découvrir l'attrait du combat. Nous avons récupérer une petite fortune, suffisante pour continuer notre voyage, et surtout, pour acheter des vêtements assez beau pour prétendre être client de la banque. Provisions, cape et vêtements chics, c'est ce que nous avons acheté avant de nous rendre sur place.

Tu n'étais plus venu dans ce genre d'endroit depuis plus de vingt ans, à l'époque, petit, tu accompagnais ton père qui stockait ses rentrées d'or. Aujourd'hui, c'était pour un retrait, sur le compte d'un fantôme dont je te dictais le nom, un de mes nombreux noms, alors que je n'en ai aucun. Cela faisait si longtemps, je guidais ta main pour signer le registre, et cela suffit à ce banquier. Il disparut, et tu parus satisfait...
Pas de morts ce coup-ci, c'est bien ça ? Tu n'aime pas tuer, voir et lire la souffrance, la peur lors de l'ultime souffle ? Moi j'adore, et je vais t'enseigner ma passion, mon goût de la destruction et de la douleur, mais tu as eu bien raison, attaquer un banquier à Proncilia, c'était se condamner au suicide. Il est revenu, un coffret noir et léger en main, fermé par une serrure.
Ne te soucie pas de l'emplacement de la clé te dis je, cela viendra en son temps, tu en as encore à trouver avant de découvrir le contenu. Remercie le, et partons.

Cette épisode là était sans intérêt, tu ne crois pas ? Pas de violence, pas de morts, pas de cris, quel ennui, mais dans cette belle histoire de fées et de démons, il faut bien qu'il y ait du mal, sinon, comment le bien ressortirait ? Arrêtons là les inutiles bons moments, place au chaos, à la folie et la souffrance !

Au suivant, quelques mois après, ne m'en veut pas, ma mémoire avait du mal, j'ai mis du temps à retrouver l'emplacement, tu avais une sale tête, sincèrement. Les traits tirés, sombre, tu devenais un monstre, vraiment. Je t'avais initié à la méditation, et tu avais prit conscience de ma présence, et de mon petit cadeau surprise. Tu avais presque déjà oublié ton ancienne vie, comme si elle n'avait jamais existé, même si parfois, tu pleurais la nuit, la regrettant.

Bref, où en étais je...? Ah oui, le second coffret. Celui ci, je l'avais confié au tavernier de Sarosa contre une belle somme. Pourquoi lui ? Car un pauvre accepte tout, et qu'au fond, cela ne le dérangeait pas. Mais cet imbécile avait été pillé par des bandits qui sévissaient depuis peu dans le coin, des amateurs certes, mais ces bougres avaient emporté le coffret, même si ils ne pouvaient l'ouvrir. Un mois, le temps de retrouver ces minables, que de temps perdu dans ces recherches, quand même. Ils se planquaient dans une cabane, à la lisière des marécages putrides où vivent ces satanées grenouilles.
Nous avons du attaquer de nouveaux des aventuriers, une dague pour attaquer un groupe de bandits, même amateur, c'était une folie, il te fallait une arme, même médiocre, mes connaissances compenseraient le reste.

Nous nous sommes rendus sur place, discrètement, notre cape désormais tâchée, usée sur le dos, et nous les avons suivi jusqu'à leur repaire. Cinq petites tentes formant un cercle de toile, et un feu crépitant où festoyaient nos gaillards. Ils venaient d'attaquer une charette et en avaient tiré un butin. Nous nous sommes cachés, et nous avons écouté. Ces gars là, en plus d'être ivrogne étaient des collectionneurs, ils gardaient ce qui n'était pas en or, les bibelots, dans une cachette, et revendaient tout ce qui pouvait leur rapporter. Nous les avons suivi lorsqu'ils se mirent en route vers cette cachette, où j'espérais trouver mon coffret.
Une fois sur place, Ray', tu es passé à l'action, la surprise te permit d'en supprimer deux sans peine, et ces pitoyables amateurs trépassèrent tous, sauf un, assez rapidement, t'infligeant malgré tout quelques blessures. Raymond, tu étais vraiment trop lent à l'époque.
Tu as attaché le dernier, et fouillé leur planque, sans succès, alors il a fallu le torturer.
Il était en sang, plus mort que vivant quand enfin, il révéla qu'il l'avait vendu à un noble qui, selon ses mots avaient les bourses assez pleine pour s'payer ces machins. Encore aujourd'hui, je me demande si les catins sont comprise dans ce que ces machins désignent.

On a rendu une visite à ce noble, gras, laid, c'était une grosse fortune, un de ces porcs qui prend plaisir à se goinffrer plus que raison alors que des bouseux meurent de faim. La société fonctionne mal, et ce genre d'individus doivent mourir. Il était hautain, insupportable, même toi tu étais dégouté, il te donnait envie de vomir, mais aussi de le tuer. En tout les cas, les catins devaient demander cher pour être sautées par ce tas de graisse qui sans doute, ne pouvait se satisfaire que de la sorte. On l'a eliminé, le monde ne le regretterait pas, et, fouillant, nous avons rempli notre bourse d'or avant de récupérer le coffret qui décorait la bibliothèque, qui était sûrement tout aussi décorative, du gros lard.
Nous sommes partis, cette fois, tu n'étais pas dégouté du meurtre, tu le pensais mérité, tu commençais à comprendre les êtres comme moi, même si tu ne l'acceptais pas.
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Isurion
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MessageSujet: Re: [Isurion/Prince Noir] Sombre Retour.   [Isurion/Prince Noir] Sombre Retour. Icon_minitimeMer 19 Nov - 23:16

Et où en arrivons nous ? Je crois que c'est le présent, voila notre parcours, et il arrive à son terme. Tu m'as désormais accepté, tu as cédé à mon pouvoir, à la tentation et tu as oublié ce que tu as pu connaître, et les raisons de toutes ces vies que tu as prise. Allons ensemble, marchons vers notre avenir, vers le dernier de mes trésors et tu obtiendras mon présent.

Huit mois depuis que tout a commencé, et nous voila à Eleven Snake, théâtre de la fin de notre histoire.
Suivant mes indications, tu te rends dans une taverne lugubre, tu ne le sais sans doute pas, mais c'est dans ces souterrains secrets que reposa l'Insurrection d'antan. Je te souffle d'effacer les traces, et à présent, tu comprends, tirant par surprise une épée, tu n'eus pas de mal à exécuter les deux-trois clients, et le tavernier, toujours le même te supplie quand tu t'approche. J'ai senti ton plaisir, tu te délectais de cette peur, et tu lui as fais rejoindre ses clients.
Je t'indique l'entrée des souterrains désormais oubliés, abandonnés, sauf par quelques ivrognes et quelques drogués à diverses substances. Des rejetés de ce monde, de la société, des déchêts. Une torche en main, nous parcourons ces vieux couloirs poussiéreux et sombres, où on entend les rats gigoter, courir et se battre entre eux par dessus le crépitement des flammes.

Je t'amène jusque devant la porte de l'ancienne chambre de l'ange Fénélon, les grincements sont forts lorsque tu la pousses, les fantômes des lieux ont du se reveiller, découvrant la présence de l'intrus. Maintenant, c'est à toi de clore l'histoire, tu approches d'un mur de pierre, et, à l'aide d'un couteau, dégage des pierres qui sont désolidarisés de l'ensemble, cachant une petite cavité où reposent un coffret identique aux deux autres, un trousseau de clé et un gros sac. Voila ta récompense, les clés de ces coffrets que tu as trouvé durant tes voyages, maintenant découvre ton trésor, Raymond.
Tu sors donc de ton sac les deux précédents, et pose le dernier au sol, à côté. L'un après l'autre, tu découvre les trois cristaux, identique à celui qui t'amena ici, ils sont si attirants, tu t'en saisis, et la même réaction se produit, ton corps les absorbe. Ressens donc mon présent, ce pouvoir qu'est le Chaos, le mien, une part, tu l'aimes n'est ce pas ? Maintenant, laisse moi te conter la conclusion de cette sombre histoire, une fin digne de tout son déroulement, dans la douleur et l'horreur, apprends que je suis un monstre, contemple la vérité.

Tu auras été mon serviteur, fidèle et stupide, mais serviable. Ceux qui se laissent emporter, envoûter par ce pouvoir sont condamnés à mourir, parce que je suis un parasite, un dévoreur de l'âme, un glouton qui jamais ne sera rassasié. Tu m'as plu, parce que tu ne craignais pas l'avenir que je t'ai proposé et parce que tu as agi, sans hésiter, mais à présent, laisse moi te satisfaire, laisse moi te détruire...

...



Je ne l'entends plus, il n'existe plus à présent... Je prends le sac dans la cavité, la partie finale de mon plan, de cette échappatoire à la mort, une issue de secours qui se sera révélée nécessaire, même si j'en ignore la raison. L'ouvrant, je découvre une cape ample et sombre, neuve, que je pose sur le lit couvert de poussière. Je sors ensuite quelques protections de cuir épais, légères, moins efficaces que le métal, mais moins contraignantes. Une gourde, un poignard, mes affaires m'ont attendu pendant plus d'un ans. Enfin, je te découvre, toi, mon visage. Ce masque de métal, son expression vide et froide, inspirant la crainte et l'horreur. L'expression d'un monstre sans remord qui fit des ravages autrefois.
Je me relève, le levant devant moi, le contemplant avec tant de plaisir, car il représente tant. Voila ma renaissance, mon retour dans le monde des vivants, moi le non-être. Il y a tant d'histoires que j'ai entendu durant mes voyages, un temps que je vais devoir apprendre pour ensuite y laisser ma marque.
Je place lentement, solennel ce masque de métal sur mon visage, le maintenant par une lanière de cuir derrière ma tête, avant de repasser la capuche sur mon visage, le recouvrant.
Dans le silence de ces lieux oubliés, où le temps s'est arrêté, disparu de la réalité, seul les rats assistent, sans comprendre, au retour du Prince Noir.
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